François : La Fête DAnniversaire De Son Fils Tourne À LOrgie. (Partie 2)
Dans la première partie du récit, François en rentrant de Paris, avait rêvé que la fête danniversaire de son fils, se transformait en orgie. Vous avez été plusieurs à me demander une suite, je vais donc poursuivre les aventures de François.
Revenons un peu en arrière, au départ de Paris dans le TGV trois heures plus tôt. François fit la connaissance de sa voisine de train, Josiane une bourgeoise, jeune veuve de 52 ans, aux formes avantageuses, avec un beau visage très peu ridé. Elle était vêtue chiquement dun tailleur et dun chemisier blanc qui laissait deviner une imposante poitrine. Après quelques politesses, François accepta de laisser sa voisine côté vitre. La femme enleva sa veste et la posa sur ses genoux tandis que François fit de même avant de sinstaller sur son siège. Après quelques échanges de courtoisie, le couple qui ne se connaissait pas avant ce voyage, discuta pendant un long moment comme deux amis de toujours.
Puis, mis en confiance mutuellement, ils nhésitèrent pas à se dévoiler en se racontant leur vie. Voyant que Josiane était très ouverte à la discussion, afin de passer le temps, François linvita au wagon bar où ils continuèrent de faire connaissance. Il trouva cette veuve très sympathique et surtout très attirante physiquement, cela ne lui déplairait pas de tromper Anne-Marie, son épouse, pour un coup dun soir car il la devinait bien chaude et experte en matière de sexe. Tandis que Josiane, qui navait pas fait lamour depuis plus dun mois, avec un homme de 64 ans, rencontré lors du mariage dune de ses nièces, était en manque plaisir. Elle navait pas donné suite à cette aventure car ce sexagénaire nétait pas parvenu à lui donner un orgasme digne de ce nom. François, rencontré dans ce TGV était tout à fait à son gout et était sans doute lamant idéal quelque recherchait depuis un moment en vain. Après une bonne trentaine de minutes à boire leur verre tout en blaguant, le train roulait depuis plus dune heure-vingt, lorsquils reprirent leur place initiale.
Josiane sétait rapprochée, sa cuisse frôlait celle de son voisin mais très vite, François épuisé, commença à sommeiller. Il essayait de résister mais sa tête partait régulièrement vers lavant et sendormit enfin dans une posture inconfortable. Josiane en femme compatissante, se pencha en arrière et pris son voisin dans ses bras où il pouvait dormir en ayant comme oreiller les deux gros seins de sa voisine de voyage. Lodeur de la lotion de François et les deux verres de blancs consommés quelques minutes plus tôt, mirent Josiane dans un état dexcitation de plus en plus fort. Elle remonta sa jupe, pris discrètement et délicatement le bras de son voisin, le posa sur sa cuisse, plaçant sa main sur son intimité, le tout caché sous sa veste. Puis tout en fermant les yeux, elle commença à caresser délicatement le torse de François profondément endormi.
Ainsi installé, ce couple avait lair dêtre légitime, mais dans son rêve érotique, François activait ses doigts sur la vulve de Josiane qui gémissait doucement et mouillait le fond de sa petite culotte, tandis quelle remarqua que François avait une belle bosse qui prenait forme dans son entrejambe. Sa main descendit plus bas, caressa ses pectoraux, ses abdominaux, avant de finir sur le sexe de François en pleine érection. Pendant que les deux doigts de François faisaient des allées et venues à lintérieur de la chatte de la quinquagénaire, celle-ci massait doucement de bas en haut la verge tendue de son voisin. Sous les vestes, personne ne pouvait simaginer les caresses intimes que ce couple se prodiguait.
Lorsque la voix sortant des haut-parleurs, retentit en disant :
Mesdames et Messieurs, votre attention sil vous plait. Nous arrivons à Marseille.
François se réveilla en sursaut, le pantalon mouillé, il venait déjaculer pendant son rêve, sous la douce masturbation de Josiane. Quant à lui, il avait la main trempée de cyprine que sa voisine avait laissé échapper.
François, vous nallez pas rentrer comme ça avec cette tâche, votre femme va sen apercevoir. Venez chez moi la nettoyer, ça ne prendra que quelques minutes, jhabite à deux pas dici.
Vous avez raison Josiane mais je dois la prévenir de mon retard.
Arrivés dans lappartement cossu de cette charmante bourgeoise, celle-ci linvita à utiliser la salle de bain en lui disant quil se mette à laise et quil enfile le peignoir, pendant quelle se dirigea dans la chambre pour se mettre à laise également. François se retrouva nu sous le tissu éponge et Josiane ressortit en tenue hyper sexy dans une nuisette qui ne cachait pratiquement rien de son corps super bandant :
Jai du champagne au frais, vous en voulez une coupe François ?
Volontiers merci, mais rien quune et je me sauve.
Josiane invita François à sasseoir sur le fauteuil tandis quelle prenait place sur le canapé après avoir servi la coupe de champagne à son invité. François était dans tous ses états, son hôte lexcitait dans cette tenue plus que suggestive mais essayait de ne pas montrer quil avait envie delle, il était pressé de partir retrouver Anne-Marie qui devait probablement se languir de le voir. Josiane pensait dans son for intérieur : « Encore un homme timide, il faut que je fasse le premier pas ».
Pendant que le couple avalait leur verre de pétillant, en déplaçant sa jambe, malencontreusement, le peignoir de François sétait légèrement ouvert, dévoilant son pénis commençant à sériger et dun calibre très respectable. Cétait bien la taille quelle imaginait quelques minutes plus tôt dans le TGV :
Cest moi où le champagne qui vous met dans cet état ? demanda-t-elle stupéfaite, en souriant.
François gêné en sapercevant de la mise à nu de son sexe, sourit également en essayant de remettre le tissu sur son sexe. Incontestablement, il bandait devant cette créature pleine de charme et de formes. Il avait essayé tant bien que mal de cacher son érection en la recouvrant des pans de son peignoir, mais sa verge se mettait au garde à vous, impossible pour lui de dissimuler son érection, il ne savait plus quelle attitude prendre, se mettrait-il plus en retard ou finir sa coupe et partir au plus vite. Ce bel étalon attirait de plus en plus Josiane qui fixait lentrejambe de son voisin, elle ne pouvait pas sempêcher de jeter son regard vers la bosse que formait sa verge gonflée de désir, elle se limaginait déjà, pénétrant dans sa chatte qui shumidifiait de plus belle.
Voyant que François ne prenait pas de décision, elle se décida dintervenir avant quil ne parte, elle se leva, débarrassa les verres vides et se plaça devant lui en lui posant les deux mains sur les cuisses, ayant ainsi ses deux seins devant son visage. Ce qui eut pour effet que la queue de François prenait encore plus de volume, elle sétait dressée comme un dard, passant de nouveau à travers le peignoir mal fermé. Josiane mouillait, tellement excitée, elle ne pouvait pas attendre plus longtemps, elle prit sa bite à pleine main et avait commencé à le branler dune main assurée et experte.
Non Josiane, pas ce soir ! Il se fait tard et je dois rentrer.
Avec une verge comme la tienne, je ne peux pas mempêcher de la gouter. Répondit-elle en soupirant fortement.
Elle lui fit un petit bisou sur la bouche et descendit immédiatement avaler entièrement et goulument le sexe de son amant dun soir. Josiane était en chaleur, tout son intérieur bouillonnait, elle avait envie quil soccupe delle. François avait compris, il avait lu dans ses pensées, délicatement il la repoussa, se leva et avait retiré cette nuisette qui ne servait à rien.
Tu mouilles salope ! Ça te plait hein ? Tu es chaude bouillante. Dit-il en lattirant vers le canapé.
En effet, sa chatte était trempée, la cyprine coulait de son vagin. Il la retourna et la fit se pencher sur le divan, après lavoir doigté quelques instants, il frotta son gland entre ses longues lèvres violettes, tout en titillant le clitoris puis la pénétra sans plus attendre en poussant dun coup sec dans son orifice béant. Josiane poussa un petit cri de surprise, ressentant cette grosse bite qui lui remplissait entièrement la chatte, elle navait rarement eu loccasion de baiser avec un homme aussi bien monté que François. Positionné ainsi, les deux mains sur les coussins et les fesses en arrière, quil écartait de ses deux mains pour senfoncer à fond, elle griffait de ses ongles le tissu du canapé.
Josiane était aux anges, satisfaite dêtre prise ainsi, ses soupirs et gémissements se faisaient entendre au rythme des coups de reins violents de son partenaire, pendant que ses couilles claquaient sur son le cul.
Oui ! Baise-moi fort ! Vas-y plus fort ! Fais-moi jouir !
Tu en veux ? Tiens prends ça ! Dit-il en accélérant le mouvement.
Ses va-et-vient étaient de plus en plus rapides et de plus en plus forts. Elle était maintenant obligée de rester bien cambrée, sa tête reposait désormais sur le coussin, pour lutter contre les assauts violents de François qui grognait de satisfaction. Lhomme sérieux et courtois quelle avait rencontré dans ce TGV sétait maintenant transformé en bête sauvage avec lenvie irrémédiable de prendre entière possession de son corps.
Oui ! Je viens ! Cest bon ! Oh ! Oh ! Ouiiiiii cria-t-elle en prenant son premier orgasme.
François en homme expérimenté, se retira laissant échapper sa jouissance qui ruissela sur lintérieur de ses cuisses. Josiane ne ressentant pas la douce chaleur de sperme sur ses fesses, croyant que son amant allait jouir, se retourna et présenta ses seins et le branla afin quil se finisse sur elle :
Vas-y éjacule sur moi ! Dit-elle avant de le sucer.
Tu voulais baiser, je nen ai pas encore fini. Dis-moi que tu nes quune salope.
Cétait inespéré pour elle, François était bien un étalon. Les mots crus quelle entendait faisait remonter son désir. Elle suçait goulument cette large bite droite et dure puis répondit :
Oui ! Je suis une salope qui veux encore de ta queue. Baise-moi ! Fais-moi encore jouir !
Il sallongea sur le sofa et lattira devant lui dans la position de la cuillère. Il bloqua ses bras et ses jambes pour éviter quelle ne puisse lui échapper et la pénétra de nouveau dun seul coup de rein. Ainsi positionnés, cela lui permettait de plonger encore plus loin dans sa chatte, pendant que ses mains lui trituraient les tétons gonflés dexcitation, elle sentait de nouveau monter cette chaleur qui lui brulait le ventre. Il prenait son plaisir en allant et venant dans ce trou béant et trempé de cyprine que la veuve laissait échapper à chaque coup de rein. Voyant que Josiane reprenait un nouvel orgasme, ne voulant pas éjaculer de suite, il se retira :
Cétait trop bien François, à toi maintenant ! Dit-elle avec satisfaction.
Elle navait jamais connu un amant aussi doué qui la faisait jouir autant, elle voulait lui rendre la pareille mais François voulait autre chose, cette salope méritait quil la sodomise :
Maintenant, je vais tenculer ma belle petite bourgeoise !
Non pas ça ! Ta queue est bien trop grosse. Mon mari me sodomisait il y a bien longtemps mais il avait une toute petite bite.
Ne discute pas, cest le prix à payer, tu nes quune chienne en chaleur qui va se faire enculer.
Elle avait compris quelle ne pouvait pas y échapper et dans son for intérieur, elle voulait le garder encore, la sodomie lui faisait un peu peur mais cela lexcita, rien que dy penser, elle neut pas le courage de répliquer, son corps tout entier tremblotait, elle ferma les yeux. Voyant cela pour la rassurer, François lui avait tourné la tête vers lui, posa ses lèvres contre les siennes et pénétra vigoureusement sa langue dans sa bouche cherchant à lécher la sienne. À ce moment-là, Josiane était entièrement à sa merci, elle aurait fait nimporte quoi pour lui :
Monte-moi dessus ! Dit-il en se couchant à plat sur le canapé.
Elle sexécuta prestement sans broncher, elle était à ses ordres, il dirigeait les opérations. Après lui avoir dilaté lanus à laide de ses doigts et de cyprine, accroupie sur sa bite incroyable, il la faisait sempaler en essayant deffec les mouvements les plus amples possible. Il lui maintenait les cuisses pour laider dans son effort. Face à face, à genoux au-dessus de lui, elle frémissait, sa queue lui semblait encore plus énorme. Il la fit se coucher sur son torse et se cramponna à son cul de ses mains puissantes.
Son anus se dilata naturellement sous la pression du gland qui senfonçait de plus en plus, sous les petits cris stridents de la veuve. La douleur quelle connut quelques instants, se transforma vite en plaisir une fois que la verge avait pénétré entièrement dans le rectum, elle se sentait partir dans un nouvel orgasme sous les coups de boutoir de François qui sen donnait à cur joie. Voyant quelle jouissait de nouveau, il lui dit :
Maintenant, mets-toi à genoux sur le canapé !
Il la positionna en levrette et releva ses jambes pour lembrocher à genoux. Il souriait de satisfaction en lentendant gémir de plaisir, son excitation était à son comble, il savait quil ne pourrait plus tenir longtemps avant denvoyer la sauce. Ses coups reins samplifiaient, tous les muscles de son corps se contractèrent, sa respiration saccélérait, il allait jouir, Josiane le sentit. Elle se retourna lorsquil se retira de son rectum, lanus entièrement dilaté restait béant :
Sur ma poitrine, tu veux ?
Il engagea sa bite entre les seins quelle tenait fermement de ses deux mains et sactiva de plus belle. En quelques instants, son foutre jaillit de sa verge en jets puissants et abondants en râlant de plaisir. Josiane trouva ce moment agréable en ressentant son sperme chaud coulant entre ses deux seins avant de dégouliner sur son ventre et sur son sexe :
Tu vois, ce nétait pas la mer à boire ! Tu es une belle salope !
Cétait génial François, il faut que lon se revoie, je veux bien être ta salope que tu pourras baiser quand tu le voudras.
Il sourit mais neut pas loccasion de répondre, le son bien particulier arrivant sur mon portable lui indiquait quil venait de recevoir un message. Il sétait nettoyé et rhabillé avec empressement en jetant un coup dil à lheure quil était :
Putain ! Là, je suis vraiment en retard, la fête danniversaire est finie. Bon, je dois y aller, je te téléphone la semaine prochaine.
Sur la route du retour, François réfléchissait afin de trouver une bonne excuse pour son retard excessif. Daprès le texto dAnne-Marie son épouse, reçu une demie heure plus tôt, celle-ci simpatientait, elle avait une grosse envie de baiser. Mais après laventure avec cette bourgeoise chaude comme la braise, serait-il encore capable de la satisfaire ? La suite mercredi prochain.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci davoir lu ce récit qui sort tout droit de mon imagination. Jaimerais connaitre votre sentiment. Vous serez gentils de laisser un commentaire, je compte sur vous. « Perruche »
Vous aussi, si vous avez des idées dexpériences sexuelles, partagez-les avec moi, je peux les écrire à votre place. Contactez-moi par mail. Cyp.perruche@orange.fr
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